C'est l'histoire du premier Manège.
Les interprètes en donnent la recette : pour faire un Manège, il faut une Maman. Et il faut de la neige. Puis le narrateur réalise qu'il manque quelque chose : le Pompon ! Or à cette époque l'argent n'existe pas. On invente donc l'argent. Mais l'argent il faut le compter : on invente l'école. Mais l'argent il faut le gagner : on invente le travail ! Et pour habituer les enfants au Pompon, on invente le Doudou. Mais la société mercantile serait-elle un dommage collatéral de l'invention du Pompon !?
Dies ist die Geschichte einer ersten Beziehung. Dazu braucht man eine Mutter. Und man braucht Schnee. Und dann fällt dem Erzähler auf : Man braucht auch Bommel. Geld gab es damals nicht, also wurde Geld erfunden. Aber das muss man zählen. Also wurde eine Schule erfunden. Und Geld muss man verdienen. Also wurde die Arbeit erfunden. Und um die Kinder an die Bommel zu gewöhnen, erfand man die Schmusedecke. War das ein kollateraler Schaden ?
Télérama (4T) : « Les deux compères sont virtuoses drôles et inventifs pour nous indiquer la bonne direction : l'émerveillement. »
© Meng Phu
Distribution :
Emanuel Bémer : chant et texte
Jean-Nicolas Mathieu : guitares, chœurs.
Mise en scène : Martine Waniowski
Création lumières : Jeanne Dreyer
Régie son : Benjamin Cahen
Régie lumières : Aurélie Bernard
Production : l’Association d’Idées
Coproductions : Festival Nancy Jazz Pulsations (54), Le Gueulard Plus, Scène de Musiques Actuelles en Val de Fensch (57), la Lanterne, Pôle culturel (78).
Soutiens : Adami, Sacem (Salles Mômes), Ville de Nancy, Conseil départemental de Meurthe et Moselle, Région Grand Est.
Voir aussi
Le Pompon
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